Durabilité


La laine de verre est constituée de sable, de fragments de verre recyclé et de laine de verre recyclée.

La laine de roche se compose de roche volcanique, de laine de roche recyclée et de minéraux recyclés provenant d’autres activités industrielles. Le verre cellulaire est fabriqué à base de sable, de calcaire et de verre.

Le sable, le calcaire et la roche volcanique sont des matières premières abondamment présentes dans la nature.

Production locale

Les sites de production se situent au plus près des endroits où les matières premières minérales sont extraites, et les produits finaux sont destinés aux marchés locaux.

Les distances de transport des matières premières et des matériaux d’isolation sont ainsi minimisées. Cette situation se traduit par une réduction du nombre de camions sur nos routes, une baisse de la consommation de combustibles fossiles, une diminution des émissions de CO2, etc.

L’isolation minérale est par ailleurs extrêmement compressible, sans que cette compression affecte sa qualité. De grandes quantités d’isolants peuvent donc être transportées en un seul chargement.

Réutilisation des matières premières

En tant que fabricant d’isolation minérale, nous cherchons constamment à limiter nos besoins en matières premières naturelles. Année après année, l’emploi de matériaux recyclés joue un rôle croissant dans nos processus de production. Une excellente chose pour l’Homme et la planète.

Rien ne se perd

L’isolation minérale est 100% recyclable. Les fabricants et leurs partenaires développent des systèmes logistiques visant à collecter et recycler l’isolation minérale. S’agissant de grandes quantités, cette démarche est d’ailleurs déjà en place.

Excellent profil

L’impact environnemental d’un produit se mesure objectivement sur l’ensemble de sa durée de vie (‘du berceau à la tombe’), et ce à l’aide d’une analyse de son cycle de vie. Celle-ci tient notamment compte du transport et de la durée de vie des matériaux, de la manière dont les déchets sont traités, etc.

Le CSTC (Centre Scientifique et Technique de la Construction) a comparé l’impact environnemental de différents matériaux utilisés pour l’isolation des toitures inclinées. Conclusion: l’isolation minérale présente un excellent profil environnemental, équivalent voire supérieur à celui des matériaux bioécologiques.

Consultez le rapport ici.

Naturel? Naturellement!

Ce que l’on appelle les matériaux d’isolation ‘naturels’ (lin, cellulose, laine de mouton,…) seraient plus durables, ne serait-ce qu’en raison de leur caractère renouvelable. Une étude comparative* a pourtant démontré que du point de vue des cycles de production et de distribution, l’isolation minérale obtient un score équivalent à ceux des alternatives ‘naturelles’ en termes d’impact environnemental.

* ‘Life Cycle Assessment of ten insulating materials’, menée par le VITO, la KUL et VIBE pour le compte du Service Public Fédéral Environnement.

Réduction de la consommation d’énergie et des émissions de CO2

Les zones bâties comptent parmi les plus grandes consommatrices d’énergie, essentiellement en raison du chauffage des bâtiments. L’isolation minérale améliore considérablement les performances énergétiques des bâtiments, réduisant ainsi leurs besoins de chauffage ou de climatisation. Résultat: une baisse de la consommation d’énergie et une réduction des émissions de gaz à effet de serre. Une arme redoutable dans la lutte contre le réchauffement climatique.

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